Pouvez-vous présenter en quelques mots le Groupe Martin Belaysoud ?
Le groupe Martin Belaysoud, c’est un groupe de sociétés spécialisées dans la distribution de matériel pour le bâtiment et l’industrie. Majoritairement le secteur du bâtiment, avec une clientèle d’artisans plombiers chauffagistes, et le monde de l’industrie avec des grands comptes de l’automobile avec aujourd’hui 210 sites en France, à peu près 2 800 salariés et 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires sur l’exercice qui vient de s’écouler.
Qu’est-ce qui vous a poussé à envisager une solution de protection contre la fraude ?
Du point de vue de la finance et du point de vue fournisseurs, c’est aujourd’hui un peu plus de 50 000 virements par an pour 13 000 – 14 000 fournisseurs. Donc avec aujourd’hui, une création modification de RIB d’environ 3 500 par an, qui reposait uniquement sur le contrôle d’un être humain. Donc d’où l’importance de mettre en place un outil qui permette de tracer les contrôles.
On est client historique de DIMO sur d’autres sujets qui sont la gestion de trésorerie avec Sage XRT, COT Allocation (CashOnTime) pour le lettrage des virements clients, donc on est venu un peu naturellement vers eux pour savoir s’ils avaient un outil à disposition et donc c’est comme ça qu’on est venu sur l’outil MATA.
Quels bénéfices avez-vous identifiés depuis l’utilisation de l’outil Mata ?
En fait, l’outil MATA va nous permettre de nous assurer que le compte bancaire est associé au bon fournisseur. C’est-à-dire que si jamais on a un RIB qui est saisi mais qui n’est pas le bon RIB, l’outil va nous mettre une alerte en disant que ça ne matche pas, à nous après de refaire des contrôles, mais ça permet de s’assurer qu’on paye le bon compte pour le bon fournisseur. Ça a amené ce qu’on cherchait, c’est-à-dire déjà la traçabilité des contrôles, ça a permis de rassurer aussi la personne qui faisait la saisie des RIB et ça nous a aussi amenés à revoir bien des process parce qu’on s’est rendu compte qu’on avait quelques failles dans les émissions de nos virements, donc ça nous a permis de fiabiliser l’émission de nos virements vers nos fournisseurs.
Comment s’est déroulé le déploiement de la solution ?
Le déploiement s’est fait en plusieurs étapes, on a commencé par déployer une société sur un type de virement avant d’élargir à l’ensemble des sociétés du groupe.
Si on part du moment où on a fait la première société test, c’était en juillet 2023 et on a déployé le périmètre complet sur septembre. Il nous a fallu environ six mois pour le déployer.
Donc quand on a un sujet finance, on contacte DIMO pour savoir ce qu’ils peuvent proposer. Le fait de bien se connaître aussi fait que souvent on arrive à trouver les bonnes réponses.
